La surconsommation, comment je me suis sortie de ce fléau du 21ème siècle?
La surconsommation, ce fléau du 21ème siècle qui peut vite se mettre à dicter nos vies si on n’y prend pas garde.
La surconsommation, ce fléau du 21ème siècle qui peut vite se mettre à dicter nos vies si on n’y prend pas garde.
J'ai toujours été mordue par ces sujets d'organisation. Simplifier sa vie au quotidien, simplifier son espace, gagner du temps... Bref, c'est mon dada, et j'ai déjà écris plusieurs articles sur le sujet. Ceci étant dit, j'ai envie de vous raconter comment j'ai créé ma capsule wardrobe. Ou ma garde robe capsule. Ou mon dressing minimaliste. Les appellations ne manquent pas, comme vous pouvez le constater. Le principe de la capsule wardrobe Je ne vais pas revenir en détail dessus car si vous lisez cet article, je suis à 99% sûre que vous connaissez le concept (et si non, dites le moi, je me ferai un plaisir de vous expliquer de quoi il s'agit pendant 5 minutes 1 heure). En tout cas tout a commencé lorsque Caroline, du blog Un Fancy a lancé le concept en 2014. Ca fait un bail, je sais. L'idée de départ était de réduire les éléments présents dans son dressing à 37 pièces, pour 1 an. L'objectif est bien de consommer…
Je me suis longtemps interrogée sur le phénomène du minimalisme. Peut être d'abord parce que c'est un mot qui me parle. Entre mini, minimal, et ce suffixe, isme... ça me fait penser à isthme. Il y a un côté très reliant dans le minimalisme. Et il y a aussi la sensation de disparaitre, de s'enfouir et de se cacher. Pour se retrouver. Alors je me suis posée une question : dans cette quête, le minimalisme permet-il ma liberté ? Bref, ça fait des années. D'abord en lisant le blog d'une chic fille. A l'époque, j'avais une conscience de moi limitée. J'aurais du mal à expliquer comment ou pourquoi mais c'est comme si je n'étais pas sûre de mon existence et de son impact. Ca, c'est venu bien plus tard, avec le travail. Tout ça pour dire, que quand je lisais Marie, je me rendais compte que moi je commençais à consommer, et que ça pouvait être dangereux. Bon, je ne vais pas mentir, mais 5…
Si le titre de l'article peut surprendre, c'est bien parce que cette vérité a un côté exceptionnel pour moi. Je me suis fait cette réflexion plusieurs fois pendant le confinement : je consomme moins, je ne consomme pas, je n'ai pas envie de consommer. Si ces petites phrases peuvent sembler simples pour beaucoup d'entre vous, c'est en revanche quelque chose de très fort pour moi qui sur consommait les produits de beauté. Parce que oui, si j'ai acheté un rouge à lèvres, c’est sûrement 40 fois moins qu’en 2017. Avant le blog était la représentation de tout ce que je faisais pour coller au moule des youtubeuses et blogueuses beauté. J'adorais cette univers, et à bien des aspects, je l'aime toujours et consomme énormément de vidéos encore aujourd'hui. Pourtant les thèmes ont changés. Finis les fonds de teint et les rouges à lèvres. Bienvenue aux maisons écologiques, aux tris drastiques de dressing, au yoga et au développement personnel. Bah oui, j'ai évolué aussi, comme toutes…