Hier j'ai fêté mon vingt-cinquième anniversaire. En plein confinement, et même le dernier jour du confinement. Alors j'ai fait un gâteau au chocolat, avec un coeur fondant, et j'ai soufflé deux bougies. Un deux, et un cinq. Autant dire que la perspective d'avoir une année de plus m'émeut peu. Pourtant, j'aime bien les symboles, et 25 c'est quand même le quart de siècle. Incroyable. Ca n'arrive qu'une fois, je me suis dit (comme tous les ans, je me suis dit aussi). Et en plus, il y avait ce confinement, cette espèce de poids sur nos épaules. Pas de fête en famille cette année, pas de champagne (si, j'ai ouvert une bouteille de champagne, faut pas déconner). Et j'ai 25 ans et je me sens très jeune d'un coup. Je ne sais pas trop comment l'expliquer, mais c'est comme mettre un chiffre sur mes réflexions et mes états d'âmes. Je réfléchis à mes 20 ans et me dit que tout à changé. En même temps, si…